mardi 1 mai 2012

Parfumons notre vie....



De petits bonheurs….



 j’aime cette fleur fragile et odorante, 


le soleil est présent, ce 1er mai sera une journée douce, je vous offre ces petits brins virtuels, ces petites clochettes parfumées de plaisir


Il est bien vrai que nous devons penser au bonheur d'autrui : mais on ne dit pas assez que ce que nous pouvons faire de mieux pour ceux qui nous aiment, c'est encore d'être heureux.  Alain

samedi 28 avril 2012

Si vous les croisez, souriez.....


Voilà de quoi était faite ma fin de semaine :




Je fais depuis plusieurs mois des animations commerciales pour mettre du baume sur les allocations de POLE,

Et ces animations, je vais les continuer puisque je ne vais travailler que 4 jours par semaine, alors le vendredi et le samedi, pas tous les week-ends mais quand je le pourrais de vais continuer.

Je travaille avec plusieurs sociétés, et je choisis, suivant l’implantation géographique.

J’ai donc représenté des capsules de café, non, non, pas celle de George, les autres,

Au mois de juin ce sera à nouveau pour :


Café, cosméto et informatique...

Ces animations me plaisent, surtout pour ceux que je viens de citer. J’ai suivi une formation chez eux et c’était très enrichissant.

On voit de tout, on entend de tout, le pire et le meilleur. 
Certains acceptent notre argumentaire, d’autres sont plus agressifs et dénigrent plus ou moins violement la marque que l’on représente, d’autres nous racontent littéralement leur vie et il faut répondre sans trop s’impliquer, écouter, rassurer, prendre congé doucement. Il faut évaluer les besoins, les personnes, temporiser, répondre, et surtout garder le sourire, parfois on rit franchement  et parfois ... Grrrr...

Il faut s’intégrer aux équipes du magasin, bien que nous n’en faisions absolument pas partie, ce ne sont pas les magasins qui rétribuent les animations mais les fournisseurs.

En général les équipes nous acceptent volontiers, surtout en high-tech car en boostant leurs ventes, on augmente leur prime. Mais parfois il faut savoir doucement signaler à ces personnes sans les brusquer que ne faisant pas partie du magasin, nous n’avons pas à nous plier à leur obligation d’horaire ni de travail, si nous gérons nos stocks nous sommes tenues de leur demander des réappro de rayons et parfois cela peut être assez mal perçu. D'autre part, il ne s'agit pas seulement d'un travail d'appoint, certaines animatrices sont en temps plein, et nos remarques et rapports sont pris en compte par le fournisseur, nous travaillons d'ailleurs en binôme, surtout pour moi en high-tech avec les commerciaux. En général, cela se passe bien, j’accepte volontiers de partager un café et un petit brin de causette avec les personnes, et hop... Madora s’intègre doucement, et j’ai la chance de retourner alors dans les mêmes magasins, des petits liens se créent.
.
J’ai choisi les produits, je ne ferais pas de l’alimentaire. Je m’y suis frotté, mais franchement ce n’est pas mon truc (sauf pour les capsules et peut-être les chocolats mais on ne m'en propose pas !). Les gens sont différents, plus agressifs, pas compréhensifs du tout ! C’est moins agréable.

Je rentre les pieds en compote de rester debout, un grand besoin de silence après une journée passée dans le bruit et la musique ambiante (que l'on entend plus d'ailleurs au bout d'un moment, mais notre esprit reste marqué !), mais ravie parfois par certaines rencontres.

Alors, dans les moyennes et grandes surfaces, quand vous croisez ces animatrices, si vous ne voulez pas vous arrêter, au moins si vous croisez leur regard, souriez leur, répondez à leur bonjour, c’est réconfortant !

jeudi 26 avril 2012

Espoir......


Depuis quelques mois, il  y avait urgence chez moi : RETROUVER UN TRAVAIL !

Le parcours est long, difficile, il y a eu des espoirs, des désillusions, des larmes, des remises en question, des rendez-vous inutiles et étranges, des entretiens enrichissants d’autres fatigants, surprenants de bêtises.

Beaucoup de temps, de démarches, de déplacements, d’envoi de candidatures, des réponses, des non-réponses. Je me décourage, j’ai l’impression de me disperser, je doute !

Et puis le hasard un jour parce que je suis bavarde et assez culottée parfois, a fait que j’ai appris que deux postes se libéraient à la Mairie de ma petite ville.

J’avais déjà postulé dans cette même Mairie un mois auparavant, candidature refoulée !

Que nenni, je recommence, force ma lettre de motivation…. J’ose alerter sur cette candidature toutes les personnes plus ou moins présentes à cette Mairie que je peux connaître depuis ma présence ici.

J’attends deux semaines et je suis convoquée à un entretien. C’était le vendredi 30 mars à 11 heures 15. Ce vendredi je travaillais, je faisais une animation en grande surface à 15 mn à pied de la Mairie, j’ai demandé la modification de mes horaires, je me suis présentée à la Mairie, habillée style Super Nanny, tenue obligatoire pour les animations, tailleur noir, chemisier blanc, cheveux attachés. Nous étions nombreuses, je me sentais décalée dans cette tenue mais j’étais remontée à fond ! L’entretien s’est déroulé devant 4 personnes, rien n’a filtré de leur ressenti ! Je suis repartie travaillée sans illusion !

J’attends, je me permets de relancer, je suis reconvoquée le 19 avril à 9 h 15 pour des tests ( ?)
Ce jour là, nous sommes 4, il n’en restera que 2. Nous sommes 4 à attendre dans le hall, j’ai l’impression de me préparer à un jeu télévisé « et le gagnant est…. ». Nous nous regardons, l’une est silencieuse, une me salue, nous nous étions rencontrée lors du premier entretien et avions déjà attendu ensemble, nous échangeons quelques mots, une troisième parle à l’ensemble, nerveuse, je n’avais aucune envie de lui répondre, sa nervosité devenait contagieuse  !

Le test était simple, et j’en ai été surprise : une mise en page de document sur Word, établir un tableau Excel à partir de données écrites, et une dictée, un petit paragraphe de La Grive de H.Troyat. Je m’en tire bien, soupçonnant toutefois le piège derrière une telle simplicité !

Et la réponse tombe vendredi dernier, ma candidature est retenue.

Certes, ce n’est qu’un poste en administratif sur 24 heures par semaine, mais à deux pas de chez moi, je peux y aller à pied !

Ce poste me permettra de me poser un peu dans ma recherche, et en complément, je vais garder mes animations commerciales.

Mon contrat n’est pas signé, je serais vraiment tranquille le jour où il le sera ! Mais cela m’a rendu le sourire, la presque sérénité, et un peu de confiance !




lundi 16 avril 2012

DE RETOUR.... suite à coupure internet.....

Non, non ce n’était pas un faux départ.

Un conflit avec mon opérateur dont je ne citerai pas le nom m’a privé d’internet durant … trop longtemps !
Comme je ne voulais pas céder, hop, ma ligne a été coupée !

Je vous explique rapidement :
En décembre dernier, j’ai, avec beaucoup de difficultés, demandé mon ouverture de ligne, fixe et internet, en demandant le même abonnement que le précédent, c'est-à-dire internet illimité, et téléphone illimité fixe et mobile en groupement avec mon mobile. Offre m’a été faite d’une promotion pour deux mois gratuits.
Enfin, début janvier après de nombreux pourparlers et attente, j’ai eu ma ligne.
Sauf que, à réception de ma première facture au mois de février, j’ai cru tomber de ma chaise ! 
A la recherche d’un emploi, et le réseau mobile ne passant très bien dans mon appartement, j’ai beaucoup utilisé mon téléphone fixe vous voyez ce que je veux dire…
J’ai  appelé mon opérateur, et là à commencer le parcours du combattant, appels aboutissant je ne sais où, avec impossibilité de me faire comprendre, voir même de comprendre mes interlocuteurs.
J’ai fait un courrier. Aucune réponse.  J’ai bloqué le règlement de cette facture.
Autres appels fin février, début mars, et nouvelle facture en mars, moins élevée car je me suis méfiée, mais trop élevée à mon goût.
Autres appels, on me propose un avoir, j’envoie la demande, et RIEN…
Début avril, coupure de ligne. Et là, enfin, j’ai pu avoir un correspondant du service recouvrement qui lui se trouve en métropole.
Longue discussion, retour sur mes appels téléphoniques jusqu’à ma demande d’ouverture de ligne, j’ai du passer 45 mn au téléphone, mais j’ai enfin eu gain de cause.
Mon abonnement est rectifié, les avoirs vont être faits sur partie de ces factures.
Et ouf, j’ai à nouveau INTERNET.
Et cela m’a manqué terriblement ces deux semaines sans connexion, je lisais mes mails via mon phone ou dès que je pouvais avoir un ordi à dispo, mais pas de visites sur vos blogs.
MERCI DE VOS VISITES et moi, j’ai beaucoup de retard à rattraper à la lecture de vos blogs.
VOUS M’AVEZ MANQUE !!!!!
Vous avez demandé des nouvelles de mon gaillard de fils, il va mieux, il a repris le travail le 10, prématurément au goût de son médecin, mais il se sentait de reprendre et tournait dangereusement en rond. Son employeur lui a aimablement aménagé ses horaires, ce qui est incroyablement sympathique de sa part. Tout rentre doucement dans l’ordre, il poursuit son traitement, a repris son poids, reste parfois fatigable, mais il est mieux pour lui d’avoir repris. Donc de ce côté tout baigne !
Merci encore de vos visites….   Et à très bientôt….. Je fonce vous lire !!!

lundi 26 mars 2012

RENCONTRE...

Au cours de mes promenades quotidiennes,
Au détour d'un chemin, il était là, dans l'herbe, je l'ai observé un instant, avant que Chien le voit et le poursuive.  Il s'est réfugié dans un arbre, (comme le chat fou de Pierrot) je n'avais pas d'APN, juste mon téléphone, mais je n'ai pas pu m'empêcher. D'accord il faut presque une loupe pour l'apercevoir... je vous le présente tout de même :




TROP MIGNON.....

dimanche 25 mars 2012

Cette semaine, drôle de visite....

Cette semaine, nous n’avons pas trainé   sur la terrasse chez Madora…

Nous avions de la visite.....

  

JOLI ?
NON, pas joli du tout… même extrêmement laid 
Cela c’est passé chez mon ADUlescent de fils…

Etape N° 1, lundi..
M. part au travail, et retour 4 heures après, et après m’avoir passé un coup de fil  
- M’man, j’rentre là, j’suis pas bien du tout.. mon chef m’a dit de rentrer….
 il est arrivé, a foncé aux toilettes et  je l’ai trouvé couché par terre, transpirant... bouillant de fièvre, d’une couleur indéfinissable !
Là en plus, je réalise la folie de sa conduite pour rentrer, il m'avoue y avoir laissé une partie de la carrosserie et un phare contre une barrière de sécurité !

Je fonce sur mon téléphone, et comme j’arrive dans cette ville IMPOSSIBLE d’avoir un médecin !
  •           On ne prend pas de nouveaux clients (OK… !! là on est plus des patients mais des clients, et des clients impatients)
  •           Il peut se déplacer ? (Heu… non
  •      Le médecin ne fait pas de visite à domicile aujourd’hui….
  •      Vous pouvez l’amener ? ( c'est mon fils, mais malgré toute ma bonne volonté, je ne peux absolument plus le porter ! )
  • Appeler le 24/24 .. je vous donne le numéro..

J’arrive à obtenir un rendez vous chez un médecin à proximité pour le mardi 18 heures
M. reprend ses esprits et se couche,   et j’ai droit à :
- arrête de paniquer, ça va passer je peux attendre demain ça ira mieux !
Et il arrive à me convaincre, je veille à ce qu'il prenne des comprimés pour faire descendre la fièvre, il arrive à boire un potage ! sa gorge est très enflée, il a mal, mais on décide d'attendre le lendemain.

Mardi
Ça ne va pas, mais pas du tout

Et devient parfaitement …
Je vais mourrriiiiiirrrrrrr…..

Impossible de lui faire avaler un verre d’eau, la gorge est enflée, les articulations sont douloureuses. la fièvre est très haute, trop haute !

Un médecin du 24/24 se déplace enfin …  il est 15 heures…
Pas gracieuse, voir limite agressive…et pressée, très pressée, elle le dit et le redit.
Le fait que le thermomètre ait affiché le chiffre 4+ ne l’affole pas, le fait que je lui dise qu’il n’est pas coutumier du fait ne l’interpelle pas, le fait qu’il ne lui réponde pas, non plus, elle le bouscule même à un moment car il lui faisait une réponse totalement incohérente :
-          Vous avez mangé ?
-          Réponse : je sais pas…
Comment ça vous savez pas ? 
Bref.. son diagnostic tombe  LA GRIPPE
-           
Elle avait soit disant oublié un instrument chez moi, elle est revenu un peu plus d’une heure après (en fait elle n’avait rien oublié..) Je lui ai fait remarqué la pâleur de Morgan et le fait que depuis son départ, son état semblait s’aggraver, qu’il était délirant dans ses courts réveils et parfois à mon avis, pas vraiment « présent »… réponse : c’est normal avec la fièvre qu’il a !!!

On fait quoi ?
Rien.. il n’y a rien à faire.. paracétamol  et Ibu…. et attendre, et surveiller, si la fièvre n’ai pas tombé dans 24 heures vous me rappeler, et surveiller   qu’il n’y ait pas de complications
Quant aux douleurs, oui, il souffre, les articulations sont très douloureuses, normal !
OK…

J’annule le rendez-vous que j’avais pris chez le médecin, je parle avec ce médecin, qui me questionne sur le diagnostic, je lui fais part de mon doute et de mon inquiétude, mais elle me confirme qu’il n’y a rien à faire, et me demande de lui redonner des nouvelles le lendemain.

Et le lendemain, Mercredi, la situation semble se stabiliser, on ne va pas vers le mieux, mais pas non plus vers le pire, sauf que le pire nous étions en plein dedans depuis la veille. M. dort, se réveille pour boire, et prendre tant bien que mal des comprimés, mais la fièvre persiste !

Mercredi en fin d’après-midi, là ça ne va plus du tout, mais alors plus du tout !
La fièvre depuis mardi n’est pas descendue, la situation se complique, la température dépasse les 40°, M ne réagit plus, ne me répond plus, je le rafraichis, le découvre, ouvre la fenêtre… et je m’aperçois qu’en fait, il est doucement en train de perdre connaissance.

Je rappelle le médecin pour entendre à nouveau le fameux « NORMAL… » Là je décide de sortir la grosse artillerie !

Le 18, j'hésite mais sans paniquer je compose le 18, un pompier m’oriente sur un médecin du SAMU, qui par téléphone me rassure, en me guidant vers certains gestes tout en faisant son diagnostic, et il reste en ligne avec moi jusqu’à l’envoi d’une ambulance, me demandant de lui parler non stop, de le faire réagir, et surtout surtout de veiller à le rafraichir au maximum… M, grogne, il a froid, il tremble… il part.. revient… 

Les minutes me paraissaient être des heures, mais tout a été très rapide en fait, les ambulancières arrivent, M est inconscient, il a du mal à respirer, ne répond pas aux stimuli, la fièvre malgré les comprimés, les poches de glace est au dessus de 40°. 

Nous sommes partis à l’hôpital à 20 heures, prise en charge immédiate, examens,  mise sous perfusion d’antibio, le diagnostic est tombé : mononucléose !

Au matin, le médecin décide de nous laisser partir. Nous rentrons.

Je n’en tire aucune conclusion, j’en veux juste un peu à ce médecin 24/24 pour sa consultation expresse, et le fait que nous ayons perdu du temps ! un train peut en cacher un autre certes… mais je lui en veux quand même !

Je m’en veux de ne pas avoir réagi un peu plus tôt mercredi, voir même mardi tard dans la soirée, sous influence du « c’est normal !... »  et d’avoir écouté M qui allant dans mon sens, me confirmait avec un .. « ça va passé Maman !!... »
On a perdu du temps, dépensé de l’énergie pour rien, et une visite à domicile et une ordonnance qui n’a servi à rien !.... et encouru des risques parfaitement inutiles !

Voilà, ce n’est pas grave, mais j’ai eu peur … Il m’a fait très peur mon bonhomme !

Il a fallu attendre vendredi soir pour qu’enfin la fièvre diminue de manière conséquente ! Hier il a fait sa première sortie, aujourd’hui il recommence à râler (c’est de famille !  et c'est bon signe)

Aujourd’hui enfin je respire…  il fait beau ! et je vais profiter du soleil, parce que   fils malade c’est paniquant, mais Fils convalescent c’est : ….   FUIR !!!! mais je préfère ça !

N.B. je tiens à remercier même s'ils ne liront pas ce post, l'efficacité, et la gentillesse de l'équipe du Samu, des ambulancières, j'entends certains dire "c'est leur boulot !", oui, certes, mais j'ai apprécié ! A l'hôpital nous avons eu une excellente prise en charge, tant M. que moi... et surtout, surtout il m'est  arrivé une chose incroyable, je suis partie sans mon porte feuille, j'ai pensé aux papiers de mon fils, mais pas de porte feuille, juste un peu de monnaie, et au moment de partir, de commander un taxi, je me suis aperçu de mon oubli, et devant mon désarroi, c'est la jeune infirmière urgentiste qui s'est occupé de M. et avec qui j'ai échangé quelques mots durant cette nuit, qui m'a gentiment prêté de quoi régler ce taxi. Je n'en reviens encore pas, je ne l'oublierai pas ! 

mercredi 14 mars 2012

MA TERRASSE RESTE OUVERTE…

-  Réponse à un commentaire précédent -

Le « café » est prêt pour qui veut le partager !
Les chaises sont accueillantes !
Les flatteurs ne font que passer. 
Les autres… restent !
Commentaires, ou présence réelle, en MP ou au phone..  ils sont là ! certains ne commenteront plus ici, mais je sais leur présence,

Les mains se sont tendues, je les ai prises, aujourd’hui je tends la mienne !
Ce blog n’est pas tenu « régulièrement » parce que bien occupée ailleurs, parfois un peu frileuse pour publier
Moi, je navigue, je vais, je viens…   je commente où non ! Ici les gens passent ou non, s’arrêtent ou non….
Pas important, je suis restée et ne le regrette en aucune manière….
Le printemps arrive doucement,
Le sourire est à nouveau afficher sur mon visage et dans ma tête

  

lundi 5 mars 2012

RECYCLAGE POUR LES NULS

Dimanche matin…

Zut… plus de lait… et c’est là qu’il vous prend une immense envie de ce que vous n'avez plus dans votre réserve…

Et de plus, ce dimanche, Fils est avec moi et lui aussi boit du lait.

Donc, après avoir avalé un petit café rapidos, je pars en quête de lait, une petite épicerie dans mon quartier propose des dépannages tous les jours de la semaine et le soir jusqu’à .. tard, et mon boulanger me vend une belle baguette toute chaude, je préfère ça aux croissants !

De retour avec mon pack, je prépare mon petit déj avant la levée du corps de Monsieur Fils, pas causant le type devant son bol et parfois même carrément grognon alors je préfère partager ma tartine avec moi !

Je baille devant mon bol, et là … face à moi le pack de lait …



Ahhh… oui… ? ben voilà, quand on m’explique les choses je comprends !

La vache dans le pré, et ton pack dans la poubelle verte !

La vache, l’herbe, le pack, l’essuie-tout.. facile non !


Mais bon, franchement, la pauvre vache quelle herbe mange t’elle, car là franchement ce lait …

Tiens, une goutte tombe, allez Essuie-tout recyclé, vient retrouver ton père !

Et entre l’herbe… et l’essuie tout… Pff.. imaginez le circuit !

Monsieur Fils se lève :

Je lui laisse le temps d’ingurgiter son petit dèj et lui montre le pack :

-          C’est c…   dire qu’il y a des cerveaux grassement payés pour pondre une c.. pareille !

-          -          M'am.. franchement il est dé..  ce lait ! il est recyclé lui aussi ! 


J'vous l'avais dit qu'il était grognon... il a été élevé dans les prés... j'sais pas comment le recycler !

dimanche 4 mars 2012

Les 3 tamis...

 LES 3 TAMIS - EXTRAIT DE SOCRATE

Quelqu'un vient un jour trouver Socrate et lui dit :

"sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?

Un instant, répondit Socrate.
Avant sur tu me racontes, j'aimerais te faire passer le test des 3 tamis.

Les 3 tamis ?

Le premier tamis est celui de la VERITE.
As-tu vérifié se ce que tu veux me dire est vrai ?

- Non. J'en ai simplement entendu parler...

Tu ne sais donc pas si c'est la VERITE.

Essayons de filtrer en utilisant un autre tamis, celui de la BONTE.

Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami est-il quelque chose de bon.

-Ah non ! Au contraire.

Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain qu'elles soient vraies.

Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste un Tamis, celui de l'UTILITE.

Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?

- Non, pas vraiment.

Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni VRAI, ni BIEN, ni UTILE, pourquoi vouloir me le dire ?

Paroles de sagesse de Socrate

Car parfois ces mal-dits peuvent briser. Certaines personnes se délectent au point de faire mal de ses divulgations de mauvaises informations, ou du moins de leur interprétation. En "racontant" transforme, y ajoute leur vision, transpose, ramène à leur vécu, et font que l'on en perd notre propre pensée.


vendredi 24 février 2012

STOP AND HEAR...... or not....







 



Par un froid matin de janvier, un homme assis à une station de métro de Washington DC a commencé à jouer du violon.
Il a joué six morceaux de Bach pendant environ 45 minutes.
Pendant ce temps, il a été calculé que des milliers de personnes sont passées par la gare, la plupart d'entre elles en route vers leur travail.


Trois minutes se sont écoulées et un homme d'âge moyen a remarqué qu’un musicien jouait. Il a ralenti son rythme, a arrêté pendant quelques secondes, puis se précipita pour respecter son horaire.

Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : une femme jeta de l'argent dans l’étui de son violon et, sans s'arrêter, a continué son chemin.

Quelques minutes plus tard, quelqu'un s'adossa au mur pour l'écouter, mais l'homme a regardé sa montre et a repris sa marche. Il est clair qu'il était en retard au travail.

Celui qui a apporté le plus d'attention à la prestation musicale fut un petit garçon de 3 ans. Sa mère l’a tiré vers elle, mais le garçon s’est arrêté pour regarder le violoniste.

Enfin, la mère a tiré plus fort et l'enfant a continué à marcher en tournant la tête tout le temps. Cette action a été répétée par plusieurs autres enfants. Tous les parents, sans exception, les forcèrent à aller de l'avant.

Durant les 45 minutes que le musicien a jouées, seulement 6 personnes se sont arrêtées et sont restées à l’écouter pendant un certain temps. Environ 20 lui ont donné l'argent, mais ont continué à marcher à leur rythme. Il a recueilli 32 $. Quand il finit de jouer et que le silence se fit, personne ne le remarqua. Personne n'applaudit, ni n’exprima quelque reconnaissance que ce soit.

Personne ne savait cela, mais le violoniste était Joshua Bell, l'un des meilleurs musiciens au monde. Il a joué l'un des morceaux les plus difficiles jamais écrits, avec un violon une valeur de 3,5 millions de dollars.

Deux jours avant sa prestation dans le métro, Joshua Bell joua à guichets fermés dans un théâtre de Boston où un siège coûtait en moyenne 100 $.

C'est une histoire vraie. Joshua Bell joua effectivement incognito dans la station de métro

Cet événement a été organisé par le Washington Post dans le cadre d'une expérience sur la perception, les goûts et les priorités des gens. 

L’énoncé était: dans un environnement commun à une heure inappropriée sommes-nous en mesure de percevoir la beauté?

Nous arrêtons-nous pour l'apprécier? 

Savons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu?
L'une des conclusions possibles de cette expérience pourrait être: si nous n'avons pas un moment pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant la meilleure musique jamais écrite, combien d'autres choses manquons-nous ?
  

lundi 20 février 2012

Mon message d'amour.....

Finalement, la pluie n’a fait qu’une brève apparition.

Levée tard, vers 9 heures, petit ménage dans mon nouveau petit chez moi, en écoutant mes morceaux de musique préférés, toutes fenêtres ouvertes, il faisait doux.

Longue sortie en début d’après midi avec Monsieur Chien, avec les rayons du soleil de la semaine dernière, la végétation se remet doucement de cette période de neige / gel assez rude.  Nous avons joué, couru. Cela m’a fait un bien fou, le parc était désert, les chemins vides.

En fin d’après-midi, j’ai préparé des bugnes. Il y a longtemps que je n’en avais pas fait, vraiment longtemps ! Je ne sais pas ce qui m’a pris, une envie, une nostalgie.

Une tradition les bugnes chez Maman ! Chaque année elle nous préparait des bugnes lorsque nous étions tous à la maison. Une énorme quantité. Un véritable cérémonial. Elle les déposait dans une immense corbeille en osier tapissée d’un linge blanc.

Elle nous embauchait, l’une à la découpe, avec cette fameuse roulette en bois crantée que je revoie, l’autre au façonnage –et attention à ne pas rater le fameux « nœud » et à respecter les dimensions- une autre au saupoudrage du sucre glace et à l'installation dans la corbeille. Inutile de vous dire que c’est ce dernier poste que je préférais ! il fallait garder la cadence, interdiction de s'approcher de la friteuse, rire mais ne pas perturber la cuisinière ! se faire réprimander gentiment lorsque nous ingurgitions trop de sucre, nous léchions les doigts, ou lorsque nous décidions que les hors "normes" devaient être mangées dans l'instant ! Oh, le bonheur de ces bugnes tièdes chapardées avant l'heure !

Et les bugnes, c'était aussi le partage, nous en emmenions à l'école ! Plus tard je me souviens en avoir fait une grosse quantité que j'avais emmené au travail et que nous avons mangé en commun ! 

Et, puis, et puis… sans doute cette petite phrase que j’ai entendu récemment…

« Paul faisait les bugnes pour ses petites filles, il n’y aura pas de bugnes cette année ! »

C’est stupide, mais il FALLAIT que je fasse des bugnes !

En pétrissant la pâte, en découpant, en saupoudrant le sucre, une foule de souvenirs heureux sont remontés, doux, réconfortants.  

Il y aura des bugnes cette année…  !
Mon secret petit trait d'Union... 
Mon message d’amour…..

Rentré de son week-end, mon fils a découvert le plat, surpris, je ne lui en avais jamais fait, il a croqué… avec gourmandise… je lui ai raconté… l'origine, la tradition, l’immense corbeille en osier remplie de ces délicieux oreillons, l’odeur de fleur d’oranger, le goût du sucre,  nous avons parlé, nous avons ri,

Je transmettrais !


INB : le sucrier et le petit pot en fond (je n'ai pas fait exprès) appartenaient à ma Grand-Mère.

Il faut que j’améliore, ou que je retrouve une vieille recette, car pour l’anecdote, elles n’étaient pas aussi bonnes, Maman est partie avec sa recette, et celle de cuisine-machin de Google, ce n’est pas ça ! j’ai modifié un peu de par mes souvenirs, mais… 

samedi 18 février 2012

Je réponds aux appels...



Tu me fais un peu penser à la petite rose cachée sous les feuilles de ta bannière, toi !
Allez, sors de ton trou, ….
Je joins ma banderole à celle de S.G. dans la manifestation : « Madora : retour ! » Ou alors … t’as un bouton sur le nez…..

J’ai honte, mais non je ne vous abandonne pas, 
juste un petit problème de nouvelle organisation, me faut du temps à moi !
J’adore allez naviguez sur les blogs, je com de temps en temps, mais franchement :

  • Non je n’ai pas de bouton sur le nez et puis avec le froid qu’il faisait, caché le bouton
  • Non je ne reste pas sous ma couette
  • Non je ne suis pas débordée par le temps
  • Oui, j’ai pris mon temps
  • Non je ne suis pas déprimée

 Je passe mon temps à :
  1. Me réorganiser
  2. Réaménager,  décorer mon petit appartement, ranger, installer, changer d’avis, réinstaller, mesurer, percer, re-changer d’avis, ça prend un temps fou de perdre du temps…
  3. Me faire à mon nouveau cadre, pas facile de se réhabituer à une vie en appartement, pour moi !  Alors ce nouvel appartement, je le bichonne, je me l’approprie doucement, comme je le fais pour ce nouvel environnement.    
  4. Filsunic m’a rejoint, nous cohabitons à nouveau  après des mois de séparation, (j’en reparlerais… peut être !)  
  5. Mes recherches d’un job me prennent beaucoup de temps (et d’énergie) je voulais en parler mais… des anecdotes et des déceptions, je ne sais que choisir !!

Et quand je suis devant le clavier…  LE BLANC… tellement de choses à raconter, ou pas assez, intéressant, pas intéressant ???


Alors je navigue sur vos blogs, et le temps passe…  j’adore vous rendre visite
J’ai été très touché par vos messages, vos petits signes…

Mais je pense à vous, la preuve :

JMB... avec une petite rue du Mollard 

 J

 qui arrive là....


Ma balade bi-tri-quadri-quotidienne avec Chien, y'a pire comme décor.....

Et cette photo pour Taty qui adore le givre.....


ALLEZ ....  Je continue mon chemin....  



dimanche 15 janvier 2012

Promenade dominicale... rencontre avec ...

Dimanche frileux…

Le brouillard ne s’est pas ou peu discipé aujourd’hui.

A l’ouverture des volets ce matin, découverte du givre sur les toits, les arbres... ce paysage blanc a persisté toute la journée.

Alors, et bien, après une rapide sortie dans le jardin de l’immeuble ce matin (cause chien) remontée à la maison, et c’est parti pour une séance chaud-chaud cocooning…

Mais en milieu d’après-midi, Monsieur Chien en a eu marre lui de mes chaussettes, de mon grand-pull, de ma musique, et de mon air de paresseuse du dimanche… Monsieur voulait sortir lui !!!

Bon, ok, tu as raison, on traverse le parc, direction le vieux village et la boulangerie,  elle est ouverte le dimanche, et Monsieur Chien prenant envie de se balader, moi je prends une envie furieuse d’un gouter genre tartines et confiture !! il me faut une motivation ... parce que juste aller se geler pour satisfaire Monsieur ?!

(Oui, ne vous inquiétez pas, mais depuis que je vis seule et bien je parle.. seule.. ou avec Monsieur Chien, qu’est ce qui est le plus grave à votre avis ???)

Donc nous voilà partis. attention… préparatifs anti-froid... parce que vu la couleur du ciel j’imagine le pire…  pull col roulé, veste, écharpe, chaussettes laine, bottes.. Ok j’arrête.. ah si.. doudoune… grosse doudoune.. et hop sexy-woman sur les chemins dominicaux !

Et chien n’a pas de manteau lui ?  NON  ..  chien est petit.. mais chien a son poil d’hiver.. chien est un chien de campagne en cours de recyclage ville, (moi aussi...) et chien ne craint pas le froid lui qui m’oblige à sortir !!!

Et bien je n’ai pas regretté, nous avons traversé le petit bois, le temps était gris et les clichés sont pris avec mon portable   


Mais au détour d’un chemin, 
j’ai rencontré un allien, 
FB aurait dit une fée.. 
non non..
 étrange créature de givre qu’une légère brise faisait légèrement bouger ..



Petit salut,
Allez encore un sourire dans notre parc…

Et au retour, et bien j’ai fait mon gouter… si si !... thé, tartines et confiture !!!  

samedi 14 janvier 2012

ENTRETIEN EMBAUCHE

 Je continue mon parcours de recherche d’emploi.
 Cette semaine j’ai EU UN ENTRETIEN D’EMBAUCHE
Premier rendez-vous

Je me prépare, me « coache », me « brushe », je choisis LA tenue…
Bref, j’y vais. Nous étions 20
20 pour un poste d’assistante d’agence POLYVALENTE (?!) 

L’entretien démarre plutôt bien, classique, expo des activités de l’entreprise, lecture et décorticage de mon CV, je réponds aux questions
Je me concentre, je crains les pointes d’humour (mauvais humour souvent) faut-il les relever, ou pas… bref. Je passe

J’ai eu droit à quelques questions perso, dont une qui me déconcerte à chaque fois :

Se définir en quelques mots : un blanc d’une micro seconde, du style répondre à 
"Divertissez-moi pendant 5 minutes...", que fera –il de mes réponses ??

Et les questions se terminant par JE VOUS ECOUTE…. La sur-couche de stresse, comme si subitement il me demandait ce que je pense des nains de jardin…!!.

Et puis gardez le sourire, répondre quand les questions nous paraissent vraiment, mais vraiment agaçantes :

« Maitrisez-vous les outils informatiques « …. Mais non Ducon, je me ballade toujours avec ma vieille JAPY à clavier en bakélite, ma plume et mon encrier, regarde mon CV p.… il contient des noms parlants dans ce domaine, je ne fabriquais pas des nougats chez eux ! regarde ton offre d’embauche et pourquoi je suis là,   saugrenue cette question     Oui OK, t’as vu ma date de naissance sur mon CV, mais on a à peut près la même… non ?
On se reprend… on sourit… j’ai répondu….

Ah ben voilà, on y vient à ma date de naissance, je l’attendais celle là : comment vous positionner vous vis-à-vis de votre expérience ??? Glops… là t’as beau t’être préparée, tu scrutes dans son regard LA réponse qu’il attend… MON moment de solitude !!!

Je passe ce premier RV, poignée de mains cordiale… coup de téléphone le lendemain, je suis reconvoquée : YALLAH….

On m’adresse par mail quelques notes sur un logiciel « maison » ou du moins un système d’hébergement en ligne d’aide à la gestion PME, et je dois préparer un argumentaire de vente : YOUPI… 
il manque volontairement une grande partie des informations ou comment feriez-vous entrer un éléphant dans un frigo?”

Je prépare mon argumentaire,  
Le jour J nous sommes 4, je suis la dernière et la doyenne !!!
Bon, j’ai pas tout compris là, la vente n’étant pas l’objectif principal de ce poste… mais bon… je ne le dirais pas, j’argumenterais, je sais le faire !!! en partant sur un aspect démo.

ET LE JOUR J arrive enfin....Démarrage en trombe, on se calme, j’ai RV à 20 bornes, à 17 H 30, n’ayant pas de voiture, Y.. se propose de m’accompagner, mais à 17 heures… personne… à 17 H 10 enfin je suis dans la voiture, et là il me l’a joué Sébastien LOEB sur les routes Corse, pour se détendre, il n’y a pas mieux !!! En plus il essayait de me divulguer des conseils et de calmer mon inquiétude, mon inquiétude est que je veux arriver à cet entretien : TAIS TOI et CONDUIS !!!

A 17 H 2? je poussais la porte du bureau, le stress de la route pas retombé ! Accueillie par Monsieur X du premier entretien, plus le PDG, plus le responsable informatique oups !! Va falloir que je débite mes c… d’argumentaire devant un spécialiste.

Après une révision de l’entretien précédent, début de l’argumentaire : ON VOUS ECOUTE… Vlan.!!.. (..ne pas penser aux nains de jardin...)

Je définis la situation… je parle… j’argumente… je réponds à la question s qui en fait me   guident dans mon argumentaire. FIN.
Approbation, rectification, la conversation est fluide, pas tendue.
Les questions qui me sont posées me semblent banales et sans importance vis-à-vis du poste,   du coup je ne sais si mes propres questions reflètent l'ambiance ?
Je pars sans illusion

J’ai bien fait… deux jours après, et bien J’ETAIS PAS RETENUE MAIS.....
Sans plus d’explications
Et Voilà, pourquoi, où ai-je été bonne, ou ai-je été nulle ?????
Et c’est reparti pour un tour, je ne lâche rien


samedi 7 janvier 2012

Rose de janvier... l'espoir...

Il est des journées comme cela…
Les envies renaissent… 
La vie reprend son cours…
JE RE VIENS…
2012
JE RE VIE
Ce matin, levée tard…
Petite ballade avec chien dans ce grand parc à proximité de mon immeuble.
Chien profite de sa liberté, court, joue… je marche…
Quelques flocons de neige tombent, légers… presque doux… juste derrière, sur la colline, le vieux village, son église qui pointe sa flèche dans ce ciel d’hiver gris, bleu, clair…. Les cloches sonnent…
C’est très beau… je trouve cela très beau…
Je prolonge ma promenade… je suis bien…
Surprenant, au détour d’un chemin,
ça.... ?

 j’ai cru tout de suite, de loin, qu’il s’agissait d’un papier, rouge, jeté là par quelques promeneurs…  Je m’approche… un minuscule rosier !
Comment est-il arrivé là ? Et en fleur… j’ai souri… j’ai pris une photo avec mon portable…
Au milieu des feuilles de chênes, des glands, sous la pluie abondante des derniers jours, le froid ... il est là... Droit, fleuri, rouge éclatant, minuscule au milieu de rien, petit mais je ne vois que lui sur ce tapis automnal, comme un signe.
Alors moi aussi je serais là…
 Alors oui je reviens…

parce que j’ai envie de vous retrouver…